J’as­pire à un monde où cha­cun peut constam­ment se diver­tir, s’en­traî­ner et fina­le­ment maî­tri­ser un monde inté­rieur posi­tif et constant (pen­sées posi­tives, esprit posi­tif), où les gens ont une vision posi­tive des cir­cons­tances de la vie et où ils ont de bonnes pen­sées sur les autres, quels que soient leur appa­rence, leur ori­gine ou ce qu’ils leur ont fait. Un monde où per­sonne ne blâme per­sonne parce qu’il se trouve dans une cir­cons­tance de vie étrange ou désa­gréable, où l’on se dit « Je ne l’ai pas fait cor­rec­te­ment, la pro­chaine fois je crois que je le ferai mieux » et non « C’est parce que tu m’as dit de le faire de cette façon, c’est pour cela que ça a échoué ». Je sou­haite un monde où cha­cun pense du bien et a une meilleure opi­nion de lui-même, non pas sur la base des maté­riaux qu’il a accu­mu­lés, mais sim­ple­ment sur le fait qu’il est humain et qu’il a tant de pou­voir pour déter­mi­ner ce qu’il devient dans ce monde. Un monde où la pos­si­bi­li­té de faire de grands rêves est une norme, un monde où la paix coule comme une fon­taine, un monde où des rela­tions signi­fi­ca­tives existent entre les gens. Mon uto­pie sera un monde où la vie posi­tive n’est pas seule­ment un mode de vie mais aus­si un lieu de récon­fort har­mo­nieux pour les gens qui m’en­tourent.